Nous méprisons les larbins de l’Etat

Nous autres (ex-)gilets jaunes avons appelé les forces de l’ordre avec nous, pendant deux ans, nous avons prévenu de la catastrophe, parlions de technofascisme et de crise économique monstre à venir (même quand on nous regardait comme des adolescents qui lisions trop de science-fiction), et appelé à un coup d’Etat assez vite en 2019 (puisque de toute façon le Parlement godillot et sans pouvoir n’allait pas déclencher la destitution du banquier).

Chaque jour qui passe ces forces de l’ordre de plus en plus traîtres à la nation ; eux, ont leur solde payé et dans un régime totalitaire ils ont du pouvoir, donc ils se fichent du peuple. Il faudra un jour qu’ils fassent face à la colère des parents qui ont masqué et endetté à vie leurs enfants, aux salariés et patrons dont les entreprises ont été détruites pour une grippe améliorée, l’Histoire de France les verra comme la génération la plus lâche et la plus ignarde, et en plus ce sont des cons, car ils se font cracher dessus par Castaner et Darmanin régulièrement (quand en même temps on leur laisse le droit d’éborgner les gilets jaunes). Ces idiots allaient vérifier les Ausweisse sans masques en avril 2020, maintenant, en automne 2020, ils doivent punir les sans masques.

J’ai hâte que demain on leur demande de se faire vacciner pour qu’ils soient malades les uns après les autres, et je n’ai plus aucune compassion pour eux.

A Co* nous avons la chance d’avoir une commissaire intelligente et patriote. Les forces de l’ordre y ont toujours été correctes, car nous l’avons toujours été aussi, et on s’entend bien. Je ne sais même trop ce que cette commissaire fout dans cette galère – elle devrait se retirer, comme devrait le faire toute personne digne. Se retirer du Système, préparer la révolution et être les têtes de l’après. Ça vaudra un jour aussi pour ces cons de profs qui masquent les enfants et les médecins criminels qui ont peur d’aller à l’encontre de leur Ordre pourri. Les traitres et les lâches sont toujours punis à long terme.

Pour le moment, on les méprise tous. Le respect se gagne, le dédain est tenace. Ce n’est même pas de la haine, comme le veut la rhétorique des débiles à Paris. Simplement du dégoût et de la gêne pour eux, c’est pire. Un adversaire idéologique se combat et se respecte – la merde anthropologique, les lâches, les apeurés, les cancres, les endormis, on a honte d’être face à eux. Il n’y a qu’à leur cracher dessus et les oublier avec un haussement d’épaules.

B.O.B.

Gary Clark Jr. – Soul